Respect de la vie naissante, ne nous reste-t-il que la prière ?

6 octobre 2020

Continuons à prier Dieu, par l’intercession de Notre-Dame du Rosaire, d’épargner à notre pays l’extension du délai légal de l’avortement en le faisant passer de 12 à 14 semaines et la suppression de la clause de conscience pour les médecins sur ce sujet comme cela a été voté - en première lecture - à l’Assemblée Nationalle ce jeudi 8 octobre

Père Michel BERGER, curé d’Orange et de Caderousse

Les liens ci-dessous évoquent cette question :

Le Figaro du 30 septembre

Alliance Vita demande un vrai bilan sur la question de l’avortement

Décryptage par Alliance Vita en date du 2 octobre

Tweet de Monseigneur Bernard Ginoux, notre ancien curé, sur ce sujet.

Pour aider des futures mamans à mener leur grossesse jusqu’au bout.

Extrait du discours de Sainte Mère Teresa de Calcutta au jour où elle a reçu le prix Nobel de la paix - 10 décembre 1979

Et je ressens quelque chose que je voudrais partager avec vous. Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? L’Écriture déclare elle-même : « Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main. » Même si une mère pouvait oublier... Mais aujourd’hui on tue des millions d’enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien. Nous l’admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ont légalisé l’avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l’enfant à naître et cet enfant doit mourir ; parce qu’elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l’enfant doit mourir.